Quand parle-t-on d’accident de la route ?

Un accident de la route donne droit à une indemnisation aux victimes. On parle de dommage corporel lorsque l’accident a causé une atteinte physique ou psychique, comme une blessure, un handicap ou un traumatisme psychologique. En cas de décès, le droit peut aller à l’endroit de vos ayants droit sous forme de réparation. Néanmoins, si vous avez été à l’origine de l’accident, vous pouvez ne pas bénéficier de ce droit. Dans ce cas, il est toujours recommandé de souscrire à une bonne assurance avec une garantie dommages corporels.

À combien s’élève cette indemnisation ?

L’indemnisation couvre la totalité du dommage si vous êtes passager, cycliste ou piéton. Si vous n’avez pas reçu une indemnisation, vous pouvez contacter sur le site de Me Joëlle Marteau-Péretié un avocat pour faire valoir votre droit. Par contre, si vous êtes conducteur, l’indemnité est calculée en fonction de votre responsabilité dans l’accident. Par ailleurs, il faut tenir compte de votre contrat d’assurance. En effet, les assureurs proposent une indemnisation différente à ceux qui ont souscrit une assurance de base et ceux qui ont souscrit une assurance tous risques.

Quelles sont les démarches à suivre ?

Il y a plusieurs démarches à suivre pour valider un dommage corporel. Vous devez d’abord passer un examen médical et obtenir un constat d’accident, un certificat médical, un avis d’arrêt de travail ou un certificat d’hospitalisation. Vous devez ensuite déclarer l’accident dans un délai de 5 jours et envoyer un courrier à votre assurance pour expliquer l’étendue du dégât. L’assureur peut effectuer une expertise médicale pour vérifier l’ampleur du dommage. Ensuite, il vous envoie un rapport médical dans un délai de 20 jours et une offre d’indemnisation en conséquence dans un délai de 3 mois.

L’article Accident de la route : comment vous faire indemniser ? est apparu en premier sur www.cabinetvandamme.fr.

Faire une première déclaration par téléphone

Quelle que soit l’ampleur du sinistre automobile, vous ne devez pas attendre le lendemain pour en faire part à votre assureur. Dès que l’accident ou le vol qui touche votre véhicule se produit, contactez votre compagnie d’assurance par téléphone. Il pourra ainsi vous apporter plus de conseils. Dès ce premier appel, on pourra déjà ouvrir et gérer votre dossier par l’enregistrement de la déclaration et la mission de l’expert.

Faire une déclaration plus concrète

Le premier appel ne règle pas tout. Vous devez faire la déclaration en vous rendant chez votre assureur. On vous donnera par la suie un récépissé de la déclaration. Si votre assureur se trouve loin de chez vous ou si vous n’avez pas le temps, vous pouvez régler le problème en lui envoyant un courrier électrique ou un fax. Certains assureurs acceptent également la déclaration par SMS. La déclaration peut également se faire par lettre recommandée avec accusé de réception.

Respecter les délais

Si vous n’avez pas bien lu votre contrat d’assurance auto, rappelez-vous que dans celui-ci, votre assureur a mentionné certains délais pour la déclaration d’un sinistre automobile. Au cas où vous dépasseriez ce délai, il peut refuser de vous indemniser. Ce délai est à compter à partir du moment où vous avez constaté ou pris connaissance du sinistre en question. Le délai pour la déclaration pour un accident est fixé à 5 jours minimum. Vous devez faire part à votre assureur des dégâts causés par une catastrophe naturelle à votre véhicule dans les 10 jours qui suivent la publication de l’arrêté constatant l’état de la catastrophe naturelle. Pour un vol, le délai pour faire la déclaration est fixé à 2 jours.

L’article Assurance auto : comment déclarer un sinistre automobile ? est apparu en premier sur www.cabinetvandamme.fr.

Payant et parfois gratuit

Si vous savez vous débrouiller, vous pouvez trouver un centre qui vous fera votre contrôle gratuitement. Par exemple, il est tout à fait possible de faire un contrôle technique à Lyon sans avoir à débourser un centime. Cette gratuité ne signifie pas que le service laisse à désirer. Tout au contraire ! Une fois le contrôle technique réalisé, le centre dresse un procès-verbal en deux exemplaires, l’un étant remis à l’automobiliste. Si le contrôle technique s’est bien passé, le PV l’indique et une vignette est accolée sur le pare-brise de la voiture. Par ailleurs, un timbre sur lequel figure la lettre A est collé sur le certificat d’immatriculation.

Les réparations et la contre-visite

Un contrôle technique pourrait vous éviter des problèmes futurs. Par exemple, vous ne serez pas confronté à un problème de démarrage inattendu. C’est ici tout l’intérêt de la contre-visite. Si le contrôleur technique agréé a repéré des défauts (timbre portant la lettre S), le propriétaire de la voiture a l’obligation légale de procéder aux réparations exigées auprès d’un garagiste. Une fois le problème technique réparé, l’automobiliste se soumet à une contre-visite pour faire constater la réparation. La contre-visite a lieu deux mois après le contrôle technique. La non-réalisation d’un contrôle technique ou d’une contre-visite est considérée comme une infraction au Code de la route. Le conducteur s’expose alors au paiement d’une amende forfaitaire de 135 €. Néanmoins, il ne risque pas de perdre des points sur son permis de conduire. Oui, mais les forces de l’ordre ont tout à fait le droit d’immobiliser le véhicule tant que le contrôle technique n’est pas effectué.

L’article Ce qu’il faut savoir en matière de centre de contrôle technique est apparu en premier sur www.cabinetvandamme.fr.

Comment réserver votre taxi moto ?

Toutes les sociétés de taxi moto possèdent un site Internet. La réservation se fait alors généralement en ligne, où il suffit de remplir un formulaire. Vous pouvez réserver 24 h / 24 et 7 j / 7. Vous obtiendrez ensuite une confirmatio n de votre réservation par email avec le coût du déplacement. Celui-ci est figé puisque la course est calculée en fonction des kilomètres à parcourir et non en fonction de la durée comme avec le taxi voiture. Vous pouvez également réserver par téléphone. Les informations à fournir lors de la réservation sont la date, l’heure et le lieu de votre prise en charge. Il peut s’agir d’une adresse précise, d’un point de contact comme la gare ou l’aéroport.

Quels sont les avantages du taxi moto ?

Le taxi moto présente de nombreux avantages. Le gain de temps est le premier atout de ce moyen de transport. Déjà, vous n’avez pas besoin d’attendre qu’un taxi passe. Vous fixez lors de la réservation l’heure à laquelle votre taxi moto doit passer vous prendre. Aucun temps d’attente ! C’est vous et vous seul qui décidez de votre heure de départ. De plus, le trajet se fait deux fois plus rapidement qu’avec un taxi auto. A Paris, les voitures roulent en moyenne à 15 km/h contre 35 km/h pour les motos, ces dernières pouvant se faufiler entre les files dans les embouteillages. Point de surprise ! Vous connaissez à l’avance le coût de votre déplacement. Aucune majoration n’est effectuée même en cas de contretemps. Par ailleurs, le taxi moto est un moyen de transport sécurisé. Les sociétés de taxi moto vous équipent de protection comme un casque avec intercom, une paire de gants, une veste de protection, un tablier pour le bas des jambes, un protège-tête.

L’article Organiser ses déplacements à Paris : du sur-mesure avec le taxi moto est apparu en premier sur www.cabinetvandamme.fr.

Un problème au niveau de la batterie

Un problème au niveau de la batterie empêche votre voiture de démarrer. Commencez alors par vérifier si votre batterie n’est pas déchargée. Allumez vos phares. Si l’éclairage est faible, votre batterie a besoin d’une recharge. Dès fois, la batterie est usée. Il faudra alors la remplacer. Mais le souci peut aussi provenir de la courroie d’alternateur ou d’accessoires. Un dysfonctionnement de la courroie d’accessoires empêche l’alternateur d’alimenter suffisamment la batterie. Ce qui empêche cette dernière de fournir de l’énergie électrique pour lancer le démarrage. Mais il se pourrait aussi que le problème vienne tout simplement des cosses de la batterie. Grattez-les avec du papier de verre puis rebranchez-les.

Les autres causes

La panne de démarrage peut également provenir du démarreur. C’est un petit moteur électrique qui permet de lancer le moteur. Avec le temps, il s’use. Un moteur noyé peut également être à l’origine du problème. Si c’est le cas, vous devez sentir une forte d’odeur d’essence. Pour régler le souci, attendez une quinzaine de minutes l’évaporation naturelle de l’essence dans le moteur. Vous pouvez également démonter les bougies d’allumage. Approchez ensuite la flamme d’un briquet de l’électrode de la bougie afin de brûler ce surplus d’essence. Et si le problème était juste l’anti-démarrage qui n’est pas correctement désactivé ? Si vous avez un anti-démarrage constitué de code à quatre chiffres, attention à ne pas vous tromper de code. Votre voiture se bloque pendant 30 minutes au bout de trois essais. Si vous devez désactiver l’anti-demarrage via une télécommande et que cela ne marche pas, vérifiez l’état de la pile.

L’article Votre voiture ne démarre pas ? Les causes possibles est apparu en premier sur www.cabinetvandamme.fr.

Les règles de conduite à suivre pour une virée en moto réussie

Les motos sont devenues des sujets très polémiques avec les séries d’accidents mortels survenues à cause de leur conduite. Pour éviter les nombreux pièges en cours de route, les motards sont donc appelés à adopter certains comportements. Pendant le trajet, ils doivent adopter une position confortable pour éviter les crampes causes d’un accident grave. En cas de survenance d’une maladie durant la conduite, ils doivent s’arrêter, au moins réduire la vitesse de son engin. Un conducteur doit disposer de toutes ses capacités physiques avant de se lancer dans une virée. Les écouteurs et les téléphones doivent être éteints pour éviter la distraction. Les nombres de passagers sont également limités. Une moto ne doit emmener qu’un seul passager à l’exception du conducteur ; les enfants, les personnes âgées et même les sacs trop lourds sont exclus. L’excès de vitesse doit également être banni surtout en ville. Les boissons alcooliques et les autres substances qui peuvent altérer la conscience sont déconseillées avant la conduite, elles sont l’origine directe des accidents routiers.

Les équipements nécessaires et le type de moto à choisir pour une meilleure sécurité

En parlant de boom des deux roues, plusieurs types de motos sont mis sur le marché, scooters, cross, trail, roadster, super-motard ou les customs. Le choix de moto doit d’abord répondre aux critères d’âge et à la catégorie de permis. Si vous êtes débutants, évitez les motos trop puissantes comme les roadsters. Choisissez des motos adaptés avec votre corps tout en prenant compte votre taille et votre poids. Si vous êtes en ville, les scooters sont beaucoup plus pratiques et plus simple à conduire. Les motos neuves sont aussi recommandées pour plus d’assurance et de garanties. Quant aux équipements, vérifiez si votre moto est équipée de toutes les pièces nécessaires, rétroviseurs, éclairage, clignotant et antivol. Si la prudence est la première règle, n’oubliez votre casque résistant mais léger ; les vêtements en cuir ultra-résistants contre les éventuelles glissades, les gants en cuir pour la protection de la main contre les chocs et les chaussures souples. Les sandales, les talons hauts, les chaussures à lacets très longs sont à exclure.

L’article Dangers à moto : assurez votre sécurité est apparu en premier sur www.cabinetvandamme.fr.